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  • woutiou


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      Vous aimez le contenu de mon roman ? Pour des raisons de droit d'auteur, seuls entre 10 et 15 chapitres seront publiés en ligne. Pour ne rater aucun chapitre, je vous invite à les consulter sur whattpad !  > ...

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      Chapitre 3
      Une brise glaciale chatouille ses joues. Risia ouvre légèrement ses lourdes paupières. La nuit est tombée. Le paysage enneigé défile sous ses yeux, éclairée par la lumière de la...

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      Un pas en avant, un autre en avant. Une patte en avant, une autre en avant. Après avoir saisi la main du jeune homme aux oreilles pointues, Risia se trouve soudainement transportée dans une vaste salle d'un blanc ébloui...

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      Les différents tomes    Les différents tomes   
      Les différents tomes
      J'ai tellement écrit déjà, et maintenant je revis tout, en repensant à comment organiser mon histoire en plusieurs volumes ! Je trouve ça super excitant de laisser libre cours à mon imagination comm...

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      Chapitre 1 : Risia Pofi
      Plongée dans l'incertitude de son passé, elle est privée non seulement d'un nom de famille, mais même de l'existence d'une famille tout court. On lui a murmuré que ses parents ont succombé à l...

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      Prologue
      Dans les terres gelées d'une forêt sombre, où le vent glacial chuchote entre les sapins noirs, se niche un étang glacé d'une beauté saisissante. Sa surface glacée semble être un miroir g...

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      La bienvenue dans un monde de fantasy imaginé par Mathilde
      Le roman "Sonates polaires" trouve ses origines dans une petite nouvelle que j'ai écrite à l'âge de 12 ans : "L'enfant sourd et l'elfe". Depuis, cet univers imaginaire s'est épanoui, peuplé de personnages f...

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      Prologue
      [VIDEO EN COURS]        Il faisait froid. Un vent glacial soufflait doucement entre les sapins noirs d'une forêt. Dans cette forêt se trouvait un magnifique étang glacé. Une toute petite cr&eacu...

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      Photographies de bruits  
      Photographies de bruits
      These pictures are not free to be used.Ces photographies ne sont pas libres de droits.   Et si on pouvait réellement photographier du son ?           Capturer des sons(Catching sounds), photographie ...

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      Ancienne usine de Pierrefonds
      These pictures are not free to be used.Ces photographies ne sont pas libres de droits. Ancienne usine de Pierrefonds, Pierrefonds Août 2018, édition de la première photo et archives Janvier 2019

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      Transcription de basses fréquences en spectre coloré
      These pictures are not free to be used.Ces photographies ne sont pas libres de droits. Transcription sonore à travers ma surdité profonde, croquis préparatoire,  Peinture acrylique basée sur des calculs de ...

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      L'adorer ou ne pas l'adorer : ADOR exposé à VERY YES

       

      WILD STYLE, exposition 2018-2019
      Galerie VERY YES, île de La Réunion 

      L'adorer ou ne pas l'adorer : ADOR exposé à VERY YESJeudi 27 Décembre,

      je propose à une bonne amie d'aller voir une exposition temporaire dans une galerie qu'elle n'avait pas encore eu l'occasion de connaître. Nous arrivons, la fresque d'entrée face à la galerie a été repeinte. Face aux contenaires noires empilées les une sur les autres, nous avons attendu avant d'entrer dans une ambiance fraîche, calme et rigolote.

       

       Wild Style est une exposition d'ADOR dans la galerie VERY YES du célèbre artiste JACE (ses gouzous dévalent partout dans le monde et sur l'île de La Réunion), du 14 décembre au 26 janvier.

       

       


        

      Exposition  vente « Wild style » par Ador, du 14 décembre au 26 janvier 2019
      au sein de la galerie VERY YES de Jace (Usine à gouzou)

      L'adorer ou ne pas l'adorer : ADOR exposé à VERY YES

      C’est la deuxième fois que je viens à la Galerie VERY YES. La galerie ne m’a jamais véritablement attiré, tout d’abord par son nom que je ne trouve pas original ; je sais que la galerie est tenue par le célèbre JACE, créateur des gouzous ; je sais que les artistes souvent exposés sont des graffeurs. Le « graff » est un art qui m’a rarement intéressée. J’ai une impression qu’il suffit d’un coup de bombe pour créer un dessin ou embellir un mur. Mais si je puis comparer aux coups de pinceaux sur une toile, il faut tout de même une bonne maîtrise.

      La galerie expose les productions d’ADOR, un artiste graffeur qui m’est complètement inconnu. Elle reste une expo-vente, où des personnages aux bouches invisibles et aux yeux énormes occupent les murs. L’entrée était fermée, j’ai dû attendre avec une amie que la responsable nous ouvre. Nous étions que deux dans la salle, observées par ces personnages rigolos. Ce n’est lorsque nous avons longé un mur qu’une foule de visiteurs arrivent et reste tout aussi silencieuse que ces personnages.  

      ADOR est un artiste qui a développé un travail d’atelier autour de dessins, de toiles, de volumes, de films d’animations, de fresques murales avec ses personnages disséminés partout. Des histoires burlesques et sulfureuses cherchent une façon de raconter, de discuter certains aspects de la nature humaine. C’est un univers joyeux avec des personnages d’une civilisation grotesque, absurde, où ils paradent. Dans l’exposition, ce sont des personnages nés à La Réunion, vêtus de peaux de bêtes et parodient des scènes quotidiennes. Ce sont des hommes des cavernes devenus contemporains.

       

      L'adorer ou ne pas l'adorer : ADOR exposé à VERY YES 

      Nous commençons d’abord par voir des personnages au long nez, qui m’ont fait tantôt penser à l’expression du nez qui s’allonge lorsque nous mentons, tantôt à des becs pour picorer ou siroter du nectar (Colibri ou Kiwi). Les toiles ressemblent à des cases de bande dessinées que nous pouvons assembler à notre guise pour créer une histoire. Mais je trouve que ça donne encore un air de tableaux de décoration parodiques avant d’accéder au premier étage de la Galerie. Il y a un mélange, il y a des dessins au crayon graphique où le monochrome domine comme ci-dessous. Le trait est épuré et fin avec des dégradés et des tons gris différents : 

       

      L'adorer ou ne pas l'adorer : ADOR exposé à VERY YES

       

       

      Sinon, avec une approche d’un graffiti de rue, ou un aspect 3D et lisse qui donnent du volume aux personnages.
      Ador n’est pas un artiste qui a su profondément me toucher avec ses peintures ou ses dessins, qui restent drôles, mignons. Nous nous attachons aux personnages car ils nous sommes familiers, mais sans plus.  

      L'adorer ou ne pas l'adorer : ADOR exposé à VERY YES

       

       

       

       

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      Paysages sonores
      These pictures are not free to be used.Ces photographies ne sont pas libres de droits. Paysages sonores, work in progress, partie 1, 2018Installation sonore interactive

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      Un petit tour chez l'Autre

       

      La Part de l'Autre, exposition collective 2018
      La Cité des Arts, île de La Réunion 
       

      Un petit tour chez l'AutreVendredi 19 octobre,

      je cours flâner au sein de La Cité des Arts. Ceci est un simple petit article pour écrire mes ressentis lors de la visite de cette exposition sur un coup de tête… La tête directement plongée dans le noir total. J'avoue que j'angoisse dans les salles sans fenêtres… Et mieux avec une personne qui ne cesse de t'observer du coin de l'oeil et qui te met constamment la pression. Elle ne me faisait absolument pas confiante pour une raison totalement inconnue. J'ignore pourquoi mes pas m'ont mené jusqu'ici. Ah oui, je me souviens que je souhaitais voir une exposition de sérigraphies d'une certaine Mathilde mais que j'apprend avec déception que la boutique ne s'ouvrait qu'à 14h. J'avais reproché au fond de mes pensées vertigineux qu'ils auraient au moins pu mettre ce détail, puisque c'était le dernier jour d'exposition.

      La part de l’autre, du 15 septembre au 28 octobre 2018, est une exposition collective de Malala Andrialavidrazana, Laura Henno, Gabrielle Manglou, Myriam Mihindou, Myriam Omar Awadi. Salle Banyan de la Cité des Art, Île de La Réunion.

       

       


       

      La part de l’autre est une exposition totalement plongée dans la pénombre, où quelques lumières vives éclairent des tirages de photographies intéressantes. Des hurlements canins sourds se font entendre dans un coin de la salle, se mélangeant aux paroles d’inconnus ainsi que des murmures d’un homme dans un coin opposé. La part de l’autre relève une question identitaire multiculturelle sur des hommes ou des femmes : les œuvres sont le fruit complexe de regards convergents des artistes sur des habitants des territoires de l’Océan Indien. Entre photographies où les visages disparaissent, entre les installations vidéo et sonore à l’apparence de reportages documentaires, un rapport corporel invisible et la mémoire d’une réalité actuelle s’y inscrit. Nous y entrons dans l’intimité des sujets filmés ou photographiés qui nous font découvrir l’envers d’un décor.

       

      Un petit tour chez l'Autre

      Vue de l’exposition dans la salle Banyan.

       

      L’influence des différences culturelles dans cet espace colonial que constituent les territoires insulaires comme l’île de La Réunion ou Madagascar, contribue à forger une identité commune issue du marronage, sous forme de ligne de fuite traversant nos sociétés au fils de temps et des migrations via le fort développement de la mondialisation. L’exposition indique que le marronage évoque la volonté d’échapper au pouvoir du maître. J'avoue que sincèrement au fond de moi, je n'ai pas réellement réussi à vraiment cerner cela à part quelques photographies ; encore, je pense quand même au triptyque de vidéos d’un jeune homme qui voyage à bord d’un bateau où il y avait une certaine sensibilité cachée et fragmentée en trois.


      Dans ce triptyque de format paysage, nous nous retrouvons face à un jeune homme qui navigue sur un petit bateau. Notre regard se promène de manière confuse sur chacune de ces vidéos, ne savant pas sur laquelle il faut se focaliser. Les climats changent, l’enfant porte tantôt une veste de pluie, tantôt un costume, tantôt un vêtement quotidien. Les couleurs de la mer et des terres visibles se marient avec ses vêtements. Son regard se dirige vers un horizon que nous ne voyons pas ; nous observons ce qu’il y a derrière lui, l’envers du décor. Ses expressions du visage recherchent expressément un élément inconnu ou parfois seul un regard divague. Les ondulations de la barque nous bercent le regard, provoquant un léger mal de mer, qui devient un petit foyer de déplacement bravant les intempéries et le soleil plombant. Evidemment, mes yeux ne savaient absolument pas où il fallait se concentrer ; la concentration frissonnait dans mon dos avec le regard pesant de la… médiatrice ? Ou peut-être encore ce silence pesant de la salle où bourdonnaient des murmures inconnues ! Ce triptyque raconte une histoire quotidienne sans mots, celle d’un voyage sans fin, d’un déplacement intime où nous ne voyons ni habitations, ni autre individu ou animal.

      A l’entrée de l’exposition se dresse également un triptyque de photographies où une main bandée et colorée en blanc se repose sur un fond rouge. Une main est l’unique sujet dans chacune de ces photos. Les trois photos montrent tout simplement trois angles différents, telle une étude scientifique ou documentaire. Pourquoi une main et pas un pied ? Ici, la main est montrée comme une sculpture, le blanc rappelle les sculptures de plâtre ou de marbre. Nous pouvons apercevoir la couleur du marronnage saupoudrée de blanc. Le banc contamine et se prolifère sur sa peau, avec les bandages qui enchaînent les doigts. Les bandages empêchent le moindre mouvement libre. La couleur rouge fait ressortir le blanc, une couleur qui rappelle la passion ou la couleur sanguine. Les images capturent un instant, témoignent une histoire passée porteuse de stigmates d’une société inscrite dans un espace colonial. Enfin, si nous suivons bien les textes affichés sur des pauvres formats A4. S’ensuit une série de photographies monochromes. Images manipulées à l’apparence d’iconographies anciennes, elles donnent l’impression d’être directement sorties des archives historiques départementales (qui semblent bien être le cas).


      Tirées sur le côté négatif de l’image, un air spectral s’inscrit sur chaque portrait. L’air spectral est tel un passé qui hante, tel une mémoire qu’on tente de rafraîchir. Chaque personne a son visage caché, inconnu. L’identité est bafouée. Chacune prend une pose ou effectue un geste. La photographie leur vole une partie de leur être. Peut-être que ces personnes viennent d’un même territoire, ou de territoires différents. Une ligne d’horizon blanche relie chaque pied de l’image. Elle relie tous les portraits entre eux. D’autres photographies rappellent le même thème sans ligne d’horizon, où des corps entiers disparaissent sous forme de silhouette noires sur les pieds d’images rougeâtre ; agrandies, les personnes sont dimensionnées à l’échelle humaine. Un côté inquiétant nous envahi. D’autres, des visages sont cachés par un morceau d’un élément bleu, transparent, vert sur des tons sépia.

      D’autres photographies étaient également présentes, où nous apercevons un homme entouré d’un groupe de chiens qui semblent lui être loyaux l’appartenir. Il est maître. Enfin, une fois de plus, je me rend compte que je reste influencée par ces textes que je n'aurais peut-être pas dû lire en premier. Sur certaines photos nous voyons qu’il porte un masque. L’homme porte un haut coloré qui ressort sur les tons gris sombre ou bleuté du paysage naturel au bord de mer. Nous retrouvons également ce qui semble être des dresseurs. Peut-être que les chiens sont utilisés pour la chasse au fond d’un belle forêt tropicale. Aucun indice ! Il y a un regard sur un évènement quotidien où la plénitude semble régner autour de ces mouvements figés lors du cliché. Pour finir, une pièce avec un micro transparent éclairé, rappelant inévitablement le côté fantomatique des séries photographiques précédentes. Derrière ce micro, un drap blanc est étendu dans une photographie d’une pièce rustique. Je me questionne si je n’ai pas raté une performance ou un discours. Je n’avais aucune description de la pièce... Quel dommage. Mais le silence suffisait à s'imposer sur ces pièces que je me demande s'il est nécessaire d'avoir une description. Il y avait également une installation vidéo sonore à l’arrière de cette pièce. L’installation était entièrement plongée dans le noir, où un écran télévision était posé à terre ; un homme habillé de noir sur fond noir semble réciter unelettre, ou murmurer une prière. Des coussins sont installés autour. C’est une invitation silencieuse à partager une prière, un rituel ou un moment historique reliant chaque futur participant. Mais je n'avais pas envie de m'assoir. 


      Les dernières pièces étaient de très grandes projections vidéo documentaires ou photographiques. La plus grande vidéo était sous-titrée. C’était un échange entre un enfant qui semble être le même que celui sur le bateau avec un adulte. Il est difficile de comprendre leur échange, mais nous sommes immergés dans le gros plan d’un visage innocent, presque inquiet, à l’écoute. Les deux dernières projections étaient enfermées dans de longs couloirs clos. Je ne me suis pas attardée dessus, étant donné que les espaces clos dans le noir m’angoissent.


      Je sais, je n'ai fait qu'angoisser. Est-ce comme un refus de me retrouver dans la part de l'autre ? Ou est-ce vraiment le noir ?


       

       

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      The sing behind the silence, installation 2018
        The first try was exposed for an collective exhibition, "Sur les braises" June 2018.        It was originally an installation in situ. Many french people or strangers, said that my installation was so hypnotising ...

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      Waiting
      These pictures are not free to be used.Ces photographies ne sont pas libres de droits. Waiting, Monochrom photography, Le Port Réunion 2018. From Camera

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      Monochrom photography [1]
      Reunion Island, 2018. Monochrom photography from canon EOS 1200D.   These pictures are not free to be used.Ces photographies ne sont pas libres de droits.  

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      Olive
      A gift for a dear friend.       Olive tree and three flowers, acrylic, September 2018

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      Searching...
      I post just to give a sign of my live. Here some extracts of my researches. Using oil, vinegar or milk and pigment colors, with a little song behing the paper… Just the first try. It's seem nothing or little "Okay, i will do weird th...

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      Projet présenté pour la licence
      Here some examples of works that I showed in public (with a jury).  (current layout) Artist's book (made for an exercice at April 2018 before I work again on my piece for the bachelor) Actual portfolio

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      Photography - the sun
      The sun, 2018 From camera   Edit at 10.27.2018

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      Watercolor - plants
      Two flowers, watercolor, 2018

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      CV
      EUDCATION   2018-2015 Ecole Supérieure d’Art de La Réunion.     DEGREE   2018 Diplôme National d’Art (DNA), grade licence (similar to Bachelor of Fine Arts)   2015 Baccalaureat of sci...

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      Liaisons
      Tu étais "toi", j'étais "moi".On vivait chacun de notre côté, séparés d'une grande distance, nous nous confronter est si rare. Avec un "coucou" maintenant, c'est toi et moi, c'est "nous" cette fois....

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      Avant j'appréciais beaucoup (j'étais une fan, j'aimais pas mal de girlband ou boyband, je suivais leurs actualités etc...) la K-pop, notamment le célèbre groupe EXO (ou encore aujourd'hui BTS). EXO é...

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